Le musée du Petit Palais a choisi, depuis trois ans, d’inviter chaque année un artiste contemporain à dialoguer avec son prestigieux fonds ancien. Andres Serrano, artiste iconoclaste et figure majeure de la scène artistique internationale contemporaine, relève le défi cet automne en présentant une quarantaine d’oeuvres dans le circuit des collections permanentes du Petit Palais. Ci-dessous quelques photographies réalisées lors de ma visite. Du 14 novembre 2017 au 11 mars 2018
Photographie Dominique Artis
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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- La vierge aux anges – William Bouguereau (La Rochelle, 1825 – La Rochelle, 1905) huile sur toile
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- Amour et Psyché – Auguste Rodin (Paris, 1840 – Meudon, 1917) Marbre d’après un modèle en plâtre réalisé en 1885
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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- Jeunes filles à la mouette – Pierre Bonnard (Fontenay-aux-roses,1867 – Le Cannet, 1947) Huile sur toile
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- Andres Serrano, artiste iconoclaste et figure majeure de la scène artistique internationale contemporaine, relève le défi cet automne en présentant une quarantaine d’oeuvres dans le circuit des collections permanentes du Petit Palais.
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- Andres Serrano, artiste iconoclaste et figure majeure de la scène artistique internationale contemporaine, relève le défi cet automne en présentant une quarantaine d’oeuvres dans le circuit des collections permanentes du Petit Palais.
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- Marquesado, Camagüey (Cuba), 2012, Andres Serrano
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- Andres Serrano, Debbie Tsosie, Navajo (Native Americans), 1996
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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- Vue automnale prise d’une fenêtre du musée du Petit Palais
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- Détail d’une décoration du Petit Palais
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- La salle des antiquités du musée du Petit Palais
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- Andres, Serrano, Piss Discus (Immersions), 1988 – Salle des antiquités du musée du Petit Palais
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- Andres Serrano, The Other Christ (The interpretation of Dreams), 2001
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- Relief funéraire – Calcaire – Production Palmyre 1er moitié du IIe siècle – L’intérieur des hypogées de Palmyre se présente comme une série d’alvéoles superposées où étaient déposés les sarcophages. Ces alvéoles étaient ensuite bouchées par une plaque sculptée portant le portrait du défunt.
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- Jean-Auguste-Dominique Ingres (Montauban, 1780 – Paris, 1867) – François 1er reçois les derniers soupirs de Léonard de Vinci 1818 huile sur toile
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- Le dépard de l’enfant prodigue – James Tissot 1863, huile sur toile
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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- Joseph-Marius Avy – Bal blanc 1903 Huile sur toile
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- Gustav Gurschner, sculpteur, autrichien, heurtoir de porte en bronze, support en bois.
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- Jean Baptiste Carpeaux – Ugolin vers 1862 Plâtre patiné. Le sujet est tiré de la Divine Comédie de Dante : le poète décrit Ugolin tyran de Pise, enchaîné et muré dans la tour de la Faim avec sa progéniture (Chant XXXIII). En le voyant se mordre les mains de désespoir, ses enfants lui proposent, par piété filiale, de les dévorer…
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- Jean-Baptiste Carpeaux (Valenciennes, 1827 – Courbevoie, 1875) Madame Jean-Baptiste Carpeaux en toilette de mariée – 1869 – Plâtre
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- Exposition Andres Serrano au musée du Petit Palais
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